Et si, à partir du 1er mai, on commençait un nouveau boulot :

Travailler activement contre le contrôle technique moto !

 

Devant le Conseil d’État, face aux ministres qui foulent la volonté citoyenne et ignorent même les engagements de leurs prédécesseurs.

Nous exigeons les mesures alternatives déjà posées, pas du mépris technocratique.

(Et oui, c’est un travail payé en bières sans mousse, en entraide, et surtout en solidarité motarde )

 

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Mais plus sérieusement…

Je ne me permettrai jamais de critiquer positivement ou négativement les antennes, le Bureau National, ou les bénévoles, sans valider ou proposer de solutions concrètes.

Dès que j’ai pu sortir mes 42€, c’était pour moi un devoir de re-adhérer.

 

Car être adhérent, c’est aussi pouvoir contester en interne comme en externe, construire, défendre, et porter les causes qui nous rassemblent.

Et surtout : défendre les motardes et motards, partout, tout le temps.

 

PS : Il n’est pas nécessaire d’adhérer pour être défendu par la FFMC.

(c’est dans les statuts !)

 

Mais les adhésions reviendront en force… le jour où les motards verront que la FFMC les défend jusqu’au bout, dans toutes les batailles.

 

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Je veux une FFMC forte, une FFMC debout, une FFMC sans peur de son ombre.

 

Une FFMC digne de ses colères fondatrices, de celles qui n'attendent pas la permission pour agir.

 

Comme je l’ai déjà écrit, et comme je continue de le porter,

Je combats sur mon temps libre, dans le respect, mais sans compromis.

 

Si la censure ou le dénigrement passent par là ?

Je les combattrai, activement, fermement.

 

Liberté. Solidarité. Responsabilité.

On lâche rien.