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Mon cher Francis Diego Delavega (Loup Garou), Merci pour ton message. Puisque, au contraire du BN qui reste encore silencieux, tu souhaites dĂ©battre publiquement, et je t'en remercie, je vais te rĂ©pondre dans le mĂȘme espritâŻ: celui du dĂ©bat argumentĂ©, fondĂ©, respectueux â et surtout documentĂ©. đą Oui, je rends public ce refus dâadhĂ©sionTu me reproches de «âŻmettre sur la place publiqueâŻÂ» le refus dâadhĂ©sion Ă la FFMC. Oui, je le fais.Parce que je considĂšre que la FFMC, au-delĂ dâune association, est un mouvement citoyen au service des usagers 2-3RM. Parce que je suis un militant engagĂ©, et que je refuse les jeux de coulisses, les censures larvĂ©es et les exclusions silencieuses. Je ne cherche pas Ă nuire. Je cherche Ă dĂ©battre. Ă dĂ©fendre. Ă construire. Et quand les canaux internes sont verrouillĂ©s, alors la parole publique devient nĂ©cessaire. đ Tu cites les statuts. Moi aussi.Tu rappelles lâarticle 6 des statuts du Bureau National. TrĂšs bien. Mais visiblement, mes deux courriers ne tâont pas suffi Ă comprendre ce que jây dĂ©montre :
Et surtout : lâarticle 6 nâest pas au-dessus de la loi. Il ne peut pas justifier un refus dâadhĂ©sion sans motif. Câest contraire :
Ce refus est abusif, discriminatoire, et juridiquement contestable. Statuts ou pas, vous ĂȘtes en faute. (le papier ne refuse jamais son encre... La hierachie des normes doit ĂȘtre respectĂ©) đ§± Je construis, je ne dĂ©truis pasTu me qualifies de « procĂ©durier ». Je passe mes nuits Ă rĂ©diger, analyser, proposer. Je me bats contre le contrĂŽle technique moto depuis des mois et annĂ©es. Jâai saisi le Conseil dâĂtat. Jâai informĂ© le BN. Jâai tendu la main. Jâai reçu le soutien de la FFMC30, et dâautres antennes. Mais en retour ? Silence. Exclusion. Injonction. Ce nâest pas une FFMC ouverte que tu dĂ©fends ici, câest une forteresse. NOTA BENE: đ§ La FFMC nâest pas une secte pyramidaleTu Ă©cris que tu connais bien les statuts â tu les as rĂ©digĂ©s. Mais tu sembles ignorer que :
Si tu veux imposer une adhĂ©sion uniquement via le BN, il faut revoir la structure de fond en comble. Ce nâest pas le cas aujourdâhui. đ€ Je tends toujours la mainJe nâai jamais demandĂ© ta tĂȘte du BN. Ni celle de Gwen. Jâai simplement demandĂ© un dĂ©bat. Un Ă©change. Une clarification. Mais ils prĂ©fĂ©rent encore et toujours ignorer. Exclure. Silencier. Je te propose un dĂ©bat public, ouvert, en visio, retransmis aux antennes. Travaillons ensemble Ă corriger les failles statutaires. Redonnons du sens Ă lâengagement bĂ©nĂ©vole. Sortons du conflit larvĂ© pour reconstruire une FFMC vivante, fĂ©dĂ©ratrice, offensive. â Ce que tu dĂ©fends, câest une exclusion politiqueTu admets ne mĂȘme pas connaĂźtre les raisons du refus de mon adhĂ©sion. Et tu tâen satisfais. Câest lĂ le vrai problĂšme. Un militant reconnu, actif, qui se bat juridiquement contre le CT Moto, est Ă©cartĂ© sans justification. Tu ne vois pas le danger ? Si la FFMC commence Ă exclure des adhĂ©rents parce quâils pensent diffĂ©remment, alors ce nâest plus une association militante. Câest une structure autoritaire. â Je continueJe poursuis mon engagement. Avec ou sans carte. Je continuerai Ă :
Francis, la balle est dans ton camp. Tu peux rester sur ta position : celle dâun rĂ©dacteur de statuts, qui sâaccroche Ă un alinĂ©a mal interprĂ©tĂ© pour exclure sans dĂ©bat. Ou tu peux revenir dans le mouvement. Le vrai. Celui qui accepte la contradiction. Qui reconnaĂźt lâengagement. Et qui ouvre ses portes Ă ceux qui dĂ©fendent sincĂšrement la cause. Je suis prĂȘt Ă discuter. Ă dĂ©battre. Ă corriger. Pour que la FFMC redevienne une force collective. Motardement, Yoann SIMON |
RĂ©ponse Ă ta rĂ©action publique â prĂ©cision sur lâadhĂ©sion Ă la FFMC
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