📍 Yoann Simon – militant engagé contre le CT moto, membre de la FFMC

Je découvre aujourd’hui que la FFMC14 fait la promotion de la "Journée Reprise de Guidon", coorganisée avec la gendarmerie, la préfecture et les services de l’État.
👉 Lien vers la publication concernée

Or, ces mêmes institutions sont celles qui :

• ont imposé le contrôle technique moto (CT moto),

• légitiment son application,

• et ignorent les engagements de dialogue et d’alternatives portés par les motards et la FFMC nationale depuis des années.

❗ Une action problématique à plusieurs niveaux

Le règlement officiel de cette journée prévoit des contrôles techniques officieux : pneus, freins, éclairage, échappements, conformité administrative…
📄 Référence : document 250114_Reglement_RG2025.pdf

Cela revient à valider la logique du CT à travers une opération conjointe avec les autorités, alors même que :

• La FFMC nationale soutient officiellement le boycott du CT moto ;

• Des motards (dont moi-même) sont engagés devant le Conseil d’État contre son application.

⚠️ Incohérence militante flagrante

En participant à une telle action :

• La FFMC14 sabote le message du boycott porté collectivement ;

• Elle s'aligne sur le discours sécuritaire d'État, qui est précisément celui utilisé pour nous imposer le CT ;

• Elle fragilise la légitimité de l’ensemble de notre lutte nationale.

Si la FFMC nationale s’oppose au CT, comment peut-on localement coopérer à son application déguisée ?
Il est urgent de clarifier la ligne.

🗣️ “On ne peut pas dire « Non au CT moto » d’une main, et de l’autre inviter les motards à passer un contrôle pseudo-technique organisé avec la préfecture.”

 

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✊ Rappeler le fondement de notre engagement

Comme je l’ai déjà exprimé dans d’autres publications :
Je suis adhérent à la FFMC non pas pour suivre aveuglément, mais pour défendre un projet collectif fondé sur :

• La liberté de circulation,

• La responsabilité individuelle,

• La solidarité motarde,

• Et la cohérence des combats.

Je suis engagé depuis le début contre le CT moto, y compris par voie juridique. Et j’annonce ici que je travaille, dès la semaine prochaine, à un recours commun au Conseil d’État, avec d’autres personnes déterminées à ne rien lâcher.

📬 Rejoignez le mouvement

👉 Si vous êtes en désaccord avec ce type de compromission locale, contactez-moi.
Nous préparons :

• Une interpellation publique du ministre,

• Une tribune citoyenne pour remettre la pression,

• Et un recours formel basé sur les contradictions dans la politique actuelle.

🔥 En conclusion : la FFMC doit rester debout

Je veux une FFMC forte, indépendante, capable de s'opposer sans se compromettre.
Une FFMC fidèle à ses colères fondatrices, qui n’attend pas l’autorisation de lutter.
Oui, je suis en colère. Pas contre des personnes. Mais contre des choix qui desservent notre combat collectif.

Hé les copains… vous êtes en train de promouvoir le CT Moto. Pas de le combattre.